L’OMS définit l’activité physique comme « tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques qui requiert une dépense d’énergie ». Ainsi, toute activité physique d’intensité modérée à élevée a des effets bénéfiques sur la santé, même s’il ne s’agit pas de sport en tant que tel. Un trajet à pied pour se rendre à l’école ou au travail, des travaux de jardinage, une séance de ménage intensif peuvent aussi faire transpirer.
Concrètement, quels sont les effets de l’activité physique sur l’organisme ? Le plus évident est que la dépense énergétique liée à l’activité peut aider à perdre de la masse grasse et à maintenir un poids corporel idéal. Mais surtout, l’activité physique permet de renforcer le tissu musculaire et la santé osseuse, ce qui réduit le risque de chute et de fractures (qui augmente inévitablement avec l’âge).
Bouger davantage, à une intensité modérée à soutenue, permet par ailleurs d’améliorer sa capacité cardio-respiratoire. En effet, le cœur est un muscle et se renforce grâce à l’entraînement ; une activité physique régulière permet de diminuer la tension artérielle, d’assouplir les vaisseaux sanguins et de réduire le taux de mauvais cholestérol et de sucre dans le sang. Résultat : les risques d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC) diminuent.
Encore mieux : l’activité physique, tout comme d’autres mesures d’amélioration de l’hygiène de vie, peut contrer une éventuelle prédisposition génétique aux maladies coronariennes. Une étude publiée en 2016 dans The New England Journal of Medicine rapportait en effet que l’absence de tabagisme, un poids normal, une activité physique régulière et une alimentation saine sont associés (ensemble et séparément) à une réduction significative du risque d’accident coronarien (avec une réduction globale de 46%), et ce, quel que soit le niveau de risque génétique porté par les patients !
Bouger davantage, à une intensité modérée à soutenue, permet par ailleurs d’améliorer sa capacité cardio-respiratoire. En effet, le cœur est un muscle et se renforce grâce à l’entraînement ; une activité physique régulière permet de diminuer la tension artérielle, d’assouplir les vaisseaux sanguins et de réduire le taux de mauvais cholestérol et de sucre dans le sang. Résultat : les risques d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC) diminuent.
Encore mieux : l’activité physique, tout comme d’autres mesures d’amélioration de l’hygiène de vie, peut contrer une éventuelle prédisposition génétique aux maladies coronariennes. Une étude publiée en 2016 dans The New England Journal of Medicine rapportait en effet que l’absence de tabagisme, un poids normal, une activité physique régulière et une alimentation saine sont associés (ensemble et séparément) à une réduction significative du risque d’accident coronarien (avec une réduction globale de 46%), et ce, quel que soit le niveau de risque génétique porté par les patients !